Churchill tras*cribe una nota de 1944 al respecto, en el volumen VI de
La Segunda Guerra Mundial (1954):
Vol. VI, pag. 597:
Prime Minister to Foreign Secretary, 11 July 44
There is no doubt that this [persecution of Jews in Hungary and their expulsion from enemy territory] is probably the greatest and most horrible crime ever committed in the whole history of the world, and it has been done by scientific machinery by nominally civilised men in the name of a great State and one of the leading races of Europe. It is quite dear that all concerned in this crime who may fall into our hands, induding the people who only obeyed orders by carrying out the butcheries, should be put to death after their association with the murders has been proved.
I cannot therefore feel that this is the kind of ordinary ease which is put through the Protecting Power, as, for instance, the lack of feeding or sanitary conditions in some particular prisoners’ camp. There should therefore, in my opinion, be no negotiations of any kind on this subject. Declarations should be made in public, so that everyone connected with it will be hunted down and put to death.
Los alemanes habían ocupado Hungría en Marzo de 1944, y entre Mayo y Julio de 1944 habían deportado a mas de 400.000 judíos húngaros a Auschwitz. La nota, del 11 de Julio de 1944, refleja la opinión de Churchill tras conocer este hecho, y también hace referencia a otras deportaciones de judíos de las que Churchill habría oído hablar en los años anteriores.
Por lo tanto, el meme que has puesto miente.
Haciendo una búsqueda rápida en Google, veo que
Eisenhower también comenta el Holocausto en
Cruzada en Europa (1948), cuando relata la liberación de los campos de concentración nazis (página 446):
The same day I saw my first horror camp. It was near the town of Gotha. I have never felt able to describe my emotional reactions when I first came face to face with indisputable evidence of nancy brutality and ruthless disregard of every shred of decency. Up to that time I had known about it only generally or through secondary sources. I am certain, however that I have never at any other time experienced an equal sense of shock.
I visited every nook and cranny of the camp because I felt it my duty to be in a position from then on to testify at first hand about these things in case there ever grew up at home the belief or assumption that `the stories of nancy brutality were just propaganda.’ Some members of the visiting party were unable to through the ordeal. I not only did so but as soon as I returned to Patton’s headquarters that evening I sent communications to both Washington and London, urging the two governments to send instantly to Germany a random group of newspaper editors and representative groups from the national legislatures. I felt that the evidence should be immediately placed before the American and British publics in a fashion that would leave no room for cynical doubt.
Por lo tanto, el meme que has puesto miente, otra vez.
EDIT: He consultado las
Memorias de Guerra de
Charles de Gaulle, y... vaya por Dios... también comenta el tema en las páginas 37, 89 y 170 del Volumen II (1956):
Vol. II, pag. 37:
La façon dont se comportaient dans la Métropole les occu-pants et leurs collaborateurs poussait, d'ailleurs, à cette évolution. Le 22 juin, Laval déclarait, à l'indignation générale: «Je souhaite la victoire de l'Allemagne.» En juillet, une «légion» formée de jeunes Français était engagée en Russie sous les ordres et l'uniforme allemands. Au mois d'août, le Maréchal promulguait une loi mettant fin à «l'activité» bureaux des deux Chambres, lesquels, jusque-là, affectaient de subsister. Du coup, les parlementaires maudissaient le régime qu'ils avaient eux-mêmes institué. Une lettre publique de protestation était adressée au Maréchal par M. Jeanneney, Président du Sénat, et M. Herriot, Président de la Chambre. Ce dernier, ayant renvoyé sa croix de la Légiond'honneur, pour marquer sa réprobation de voir décorer des «volontaires» combattant les Russes, était arrêté peu après,tandis que MM. Paul Reynaud, Daladier, Blum, Mandel, le général Gamelin, etc., demeuraient au fond des prisons où Vichy les avait jetés au lendemain de son avènement, sans que la justice les eût condamnés, ni même normalement inculpés. Au cours de l'été, s'aggravait la persécution des Juifs, menée par un «commissariat» spécial de concert avec l'envahisseur. En septembre, comme le Reich exigeait de la France une main-d'œuvre sans cesse plus nombreuse et queles ouvriers volontaires n'y suffisaient pas, on procédait à une levée obligatoire de travailleurs. Le montant total desfrais d'occupation atteignait 200 milliards au début de ce mois, soit le double de ce qu'il était en septembre de l'annéed'avant. Enfin, la répression allemande redoublait de violence. Pendant ces quatre mêmes semaines, un millier d'hommes étaient fusillés, dont 116 au mont Valérien ; plusde 6 000 allaient en prison ou aux camps de concentration.
Vol. II, pag. 89:
Mais le tumulte de l'étranger ne nous détournait pas d'in- terroger le sentiment de la nation française. Or, sur ce point,il n'y avait plus l'ombre d'un doute depuis le jour où l'ennemi,occupant tout le territoire, asservissait entièrement Vichy. Le 17 novembre, Laval, pour pouvoir opérer sans entraves, s'était à son retour du quartier général du Führer fait donner par Pétain le droit de promulguer toutes lois et tous décrets sous sa seule signature. Au cours de l'hiver, redoublait la persécution des Juifs malgré l'indignation publique, les protestations des évêques — comme Mgr Saliège à Toulouse, le cardinal Gerlier à Lyon — la réprobation du pasteur Bœgner, président de la Fédération protestante de France. Le 30 janvier 1943, était créée la milice, dont Darnand, déjà incorporédans la police allemande, devenait le secrétaire général et qui s'employait activement à traquer les patriotes. Le 16 février, s'instituait le Service du travail obligatoire, procurant au « gouvernement» le moyen de fournir sans limites à l'ennemila main-d'œuvre qu'il exigeait. Le 29 avril, Hitler, recevantà nouveau Laval, réglait avec lui des mesures supplémentaires de collaboration. Si une partie de la population demeurait encore, par détresse ou par pitié, indulgente au Maréchal,la raison de tous les Français — excepté quelques énergumènes — condamnait la politique qui se faisait en son nom. L'écoledirigeante de la nation, c'était, maintenant, la résistance etcelle-ci se confondait avec la France Combattante.
Vol. II, pag. 170:
Au reste, la répression est devenue, pour l'ennemi, une véri-table opération de guerre. Il la conduit avec une méthode aussiprécise qu'elle est affreuse. Il veut «nettoyer» ses arrières avantque commence la bataille qu'il sent venir. C'est pourquoi, l'action de la Gestapo et de la gendarmerie allemandes, combinée avec celle de la police et de la milice dont disposemaintenant Darnand «secrétaire-général au maintien del'ordre», s'acharne contre nos réseaux et nos mouvements.Toutes les formes de l'épouvante, de la torture, de la corruption sont mises en œuvre pour arracher aux malheureux qu'ona pu saisir les aveux qui en livreront d'autres. La période quiprécède le débarquement est marquée par la mort d'un grandnombre de chefs, tels: Cavaillès, Marchai, Médéric, Péri,Politzer, Ripoche, Touny, etc., l'exécution de 20.000 résistants, la déportation de 50.000 autres. Pendant la même période s'étalent les honteuses horreurs de la persécution juive. Enfin, c'est l'époque où le Reich se fait livrer les prisonniers politiques de Vichy, notamment : Herriot, Reynaud, Daladier, Blum, Mandel, Gamelin, Jacomet, en arrête d'autres comme Albert Sarraut, François-Poncet, le colonel de La Roque, se saisit de hauts fonctionnaires, d'hommes d'affaires, d'officiers généraux et tras*fère en Allemagne ces personnalités afin qu'elles lui servent d'otages ou, un jour, d'éléments d'échange.
Tres de tres, enhorabuena.