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Manifestations pour Rémi Fraisse : incidents à Toulouse, cinq blessés à Nantes
Manifestations pour Rémi Fraisse : incidents à Toulouse, cinq blessés à Nantes
Le Monde.fr avec AFP | 01.11.2014 à 16h52 • Mis à jour le 01.11.2014 à 17h58
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Des manifestants place du Capitole à Toulouse, le 1er novembre.
Au moins cinq personnes ont été blessées lors de violents incidents qui ont éclaté samedi après-midi lors d'un défilé à Nantes contre les « violences policières », lancé à l'appel des mouvements anticapitalistes, six jours après la mort de Rémi Fraisse, le militant écologiste opposé au barrage de Sivens, tué par l'explosion d'une grenade offensive lancée par un gendarme.
Trois manifestants ont été atteints aux jambes l'un par un coup de matraque, et deux par des éclats de grenades de désencerclement, selon les journalistes de l'AFP sur place. Deux membres de forces de l'ordre ont été légèrement blessés selon la préfecture. Peu après 16 h 30, les heurts se poursuivaient entre plusieurs centaines de manifestants, certains lançant des bouteilles et des fusées de détresse, et les forces de l'ordre répliquant par des grenades lacrymogènes et assourdissantes et tirant des balles de caoutchouc, touchant un manifestant dans le dos.
PLUSIEURS CENTAINES DE MANIFESTANTS
La manifestation a commencé à dégénérer dans l'artère principale de la ville, le cours des 50 otages. De premiers incidents ont été observés après des jets d'objets, dont des œufs et des chaises, en direction des forces de l'ordre. Ces dernières ont répondu par des tirs de grenades lacrymogènes et assourdissantes, ont constaté des journalistes de l'Agence France-presse.
Vers 14 h 45, un cortège de plusieurs centaines de personnes est parti de la préfecture, arborant deux banderoles portant « Solidarité contre les violences policières » et « 22 février, 3 yeux perdus. 26 octobre, un mort », en référence à une importante manifestation qui s'était déroulée le 22 février à Nantes contre le projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes. Les rangs ont ensuite grossi, la manifestation réunissant quelque 800 personnes selon les témoignages de personnes sur place.
Des protestataires avaient le visage masqué et défilaient aux cris de « La police mutile, la police assassine » ou « Flics, porcs, assassins ». Passant devant l'important dispositif policier, ils ont scandé « assassins » et « police nationale, milice du capital ».
« Combien faudra-t-il de mort(e)s pour que nous désarmions enfin la police ? » questionnaient-ils dans un communiqué, demandant par ailleurs au préfet « de s'engager à ne tuer et à ne mutiler personne samedi ». Une banderole portant « Solidarité contre les violences policières » était accrochée près du rassemblement.
INCIDENTS À TOULOUSE
A Toulouse, où un autre rassemblement se tient pour la mort de Rémi Fraisse, quelque 1000 manifestants se sont rassemblés dans le calme en début d'après-midi dans le centre-ville, selon le correspondant du Monde, Philippe Gagnebet. Les alentours de la place du Capitole étaient bouclés par des barrages policiers. La manifestation a ensuite dégénéré et les policiers ont tenté de disperser les manifestants, rapporte notre correspondant.
Sur une grande artère du centre-ville, la devanture d'une agence bancaire a été brisée à la masse, des distributeurs automatiques bancaires vandalisée, des poubelles incendiées, a constaté à l'AFP.
Peu avant 17 heures, quelque 300 manifestants se sont déplacés vers une grande artère du centre, survolée par un hélicoptère des forces de l'ordre. Les CRS ont essuyé des tirs de canettes de bière et de pierres, pendant qu'une partie des commerces fermaient. Aux abords du Palais de Justice, les forces de l'ordre coursaient différents groupes de jeunes qui incendiaient des poubelle
DÉSOLIDARISATION DE PLUSIEURS GROUPES
Le préfet de la Loire-Atlantique, Henri-Michel Comet, a appelé vendredi « au respect de la paix publique et à la plus grande vigilance » et a annoncé le déploiement d'un dispositif de sécurité « afin de prévenir et de réprimer toute atteinte aux biens et à la sécurité des personnes ».
Le gestionnaire du réseau des tras*ports en commun de l'agglomération nantaise, la Semitan, a suspendu la desserte des bus et des tramways dans le centre de la ville pendant toute la durée de la manifestation.
A la suite de ces violences, plusieurs organisations opposées à l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, dont Europe Ecologie Les Verts (EELV), l'Association citoyenne intercommunale des populations concernées par le projet d'aéroport (Acipa) et le Collectif d'élus doutant de la pertinence de l'aéroport (Cedpa), principales associations institutionnelles d'opposants, se sont désolidarisées de l'appel à manifester samedi 1er novembre.
Des manifestations étaient également prévues samedi à Dijon, à Toulouse, à Lille ou à Nice.
Un sit-in pacifique doit être organisé dimanche à Paris, pied de la Tour Eiffel, organisé par l'ONG écologiste France Nature Environnement, à la mémoire de Rémi Fraisse. Les forces de l'ordre craignent néanmoins que des personnes se rendent place Stalingrad pour un rassemblement sauvage vers 15 heures, dimanche. Le site Paris-luttes.info appelle en effet à manifester dimanche à Stalingrad et invite ses militants à revenir dimanche « avec vos casques de moto, de vélo ou de trottinette » pour dénoncer les violences policières.
del google tras*late
Eventos para Rémi Fraisse: incidentes en Toulouse, cinco heridos en Nantes
El Monde.fr con AFP | 01/11/2014 a 16:52 • Actualizado el 11/01/2014 a las 17:58
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Los manifestantes Place du Capitole de Toulouse, 01 de noviembre.
Al menos cinco personas resultaron heridas en los violentos enfrentamientos que estallaron sábado por la tarde durante un desfile en Nantes contra la "brutalidad policial", puesto en marcha en la convocatoria de los movimientos anti-capitalistas, seis días después de la fin de Rémi Fraisse, activista del medio ambiente frente a los Sivens represas, muerto por la explosión de un ataque con granadas por un policía.
Tres manifestantes fueron recibidos por una pierna Clubbed y dos por la metralla de granadas désencerclement, según los periodistas de AFP en el lugar. Dos miembros de las fuerzas de seguridad resultaron heridos levemente según la prefectura. Poco después de 16: 30 pm, los enfrentamientos continuaron entre varios cientos de manifestantes, algunos lanzando botellas y bengalas, y las fuerzas que se replican por granadas de gases lacrimógenos y paralizantes y balas de goma, golpeando a un manifestante espalda.
Cientos de manifestantes
La manifestación comenzó a degenerar en la arteria principal de la ciudad, los 50 rehenes. Se observaron Primeros incidentes después de lanzar objetos, incluidos los bemoles y las sillas hacia la policía. Este último respondió disparando granadas de gases lacrimógenos y paralizantes, señaló a los periodistas de la Agence France-Presse.
14 y 45 de la tarde, una procesión de cientos de personas fue a la prefectura, donde se presentan dos pancartas que decían "Solidaridad contra la brutalidad policial" y "Febrero 22, 3 ojos perdidos. 26 de octubre de muertos ", en referencia a un evento importante que tuvo lugar el 22 de febrero en Nantes contra el proyecto del aeropuerto de Notre-Dame-des-Landes. Las filas se cultivaron después, el evento reunió a unas 800 personas, según el testimonio de las personas en el lugar.
Los manifestantes estaban enmascarados y marcharon gritando "Policía mutilados, asesinatos policiales" o "Policías, cerdos, asesinos". Al pasar los grandes de la policía, que coreaban "asesinos" y "policía nacional, milicia del capital."
"¿Cuánto tiempo le tomará a la fin (s) para que podamos finalmente désarmions la policía? "Ellos cuestionaron en un comunicado, pidiendo también el prefecto" que se comprometan a no sólo apiolar y mutilar a personas Sábado ". Una pancarta que decía "Solidaridad contra la violencia policial" fue colgado cerca de la manifestación.
INCIDENTES EN TOULOUSE
En Toulouse, donde se celebró otro mitin por la fin de Rémi Fraisse, unos 1.000 manifestantes se reunieron en el tranquilo temprano en la tarde en el centro de la ciudad, según el corresponsal de Le Monde, Philippe Gagnebet. Alrededor de la Plaza del Capitolio fue sellado por retenes policiales. La manifestación degeneró y la policía trató de dispersar a los manifestantes, informa nuestro corresponsal.
En una arteria grande en el centro de la ciudad, la ventana de una rama se rompió en el suelo, los cajeros automáticos del banco destrozado, quemado de sarama, señaló AFP.
Poco antes de 17 horas, unos 300 manifestantes se trasladaron a una avenida principal en el centro, volado por una fuerza de helicópteros. CRS se dispararon latas de cerveza y piedras, mientras que una parte de las tiendas cerradas. Cerca del palacio de justicia, la policía coursaient diferentes grupos de jóvenes que quemaban sarama
SEPARACIÓN DE LOS GRUPOS DE VARIAS
El prefecto de la Loire-Atlantique, Henri-Michel Comet Viernes llamado "el respeto a la paz pública y la mayor vigilancia" y anunció el despliegue de un dispositivo de seguridad "para prevenir y sancionar la infracción propiedad y seguridad de las personas ".
El sistema de tras*misión de tras*porte público en la ciudad de Nantes, Semitan suspendido el servicio de autobuses y tranvías en el centro de la ciudad a lo largo de la duración del evento.
A raíz de la violencia, muchos se opusieron al aeropuerto de Notre-Dame-des-Landes, con Europa Ecología Los Verdes (VTE), la Asociación entre los ciudadanos de las poblaciones afectadas por el proyecto del aeropuerto (ACIPA) y organizaciones la duda elegido colectivo la relevancia del aeropuerto (CEDPA), las principales asociaciones de opositores institucionales, se desligaron de la convocatoria de protesta el sábado 1 de noviembre.
Las manifestaciones también se planificaron sábado en Dijon, Toulouse, Lille y Niza.
Una sentada pacífica en la que se celebrará el domingo en París, la Torre Eiffel, organizada por la ONG ambiental France Nature Environnement, en memoria de Rémi Fraisse. La policía, sin embargo, temen que la gente viene hasta Stalingrado para reunirse para una salvaje 15 horas el domingo. El sitio llama Paris-luttes.info de hecho para demostrar el domingo en Stalingrado e invita a sus miembros a regresar Domingo "con cascos de moto, bicicleta o scooter" para denunciar la violencia policial.
Manifestations pour Rémi Fraisse : incidents à Toulouse, cinq blessés à Nantes
Le Monde.fr avec AFP | 01.11.2014 à 16h52 • Mis à jour le 01.11.2014 à 17h58
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Des manifestants place du Capitole à Toulouse, le 1er novembre.
Au moins cinq personnes ont été blessées lors de violents incidents qui ont éclaté samedi après-midi lors d'un défilé à Nantes contre les « violences policières », lancé à l'appel des mouvements anticapitalistes, six jours après la mort de Rémi Fraisse, le militant écologiste opposé au barrage de Sivens, tué par l'explosion d'une grenade offensive lancée par un gendarme.
Trois manifestants ont été atteints aux jambes l'un par un coup de matraque, et deux par des éclats de grenades de désencerclement, selon les journalistes de l'AFP sur place. Deux membres de forces de l'ordre ont été légèrement blessés selon la préfecture. Peu après 16 h 30, les heurts se poursuivaient entre plusieurs centaines de manifestants, certains lançant des bouteilles et des fusées de détresse, et les forces de l'ordre répliquant par des grenades lacrymogènes et assourdissantes et tirant des balles de caoutchouc, touchant un manifestant dans le dos.
PLUSIEURS CENTAINES DE MANIFESTANTS
La manifestation a commencé à dégénérer dans l'artère principale de la ville, le cours des 50 otages. De premiers incidents ont été observés après des jets d'objets, dont des œufs et des chaises, en direction des forces de l'ordre. Ces dernières ont répondu par des tirs de grenades lacrymogènes et assourdissantes, ont constaté des journalistes de l'Agence France-presse.
Vers 14 h 45, un cortège de plusieurs centaines de personnes est parti de la préfecture, arborant deux banderoles portant « Solidarité contre les violences policières » et « 22 février, 3 yeux perdus. 26 octobre, un mort », en référence à une importante manifestation qui s'était déroulée le 22 février à Nantes contre le projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes. Les rangs ont ensuite grossi, la manifestation réunissant quelque 800 personnes selon les témoignages de personnes sur place.
Des protestataires avaient le visage masqué et défilaient aux cris de « La police mutile, la police assassine » ou « Flics, porcs, assassins ». Passant devant l'important dispositif policier, ils ont scandé « assassins » et « police nationale, milice du capital ».
« Combien faudra-t-il de mort(e)s pour que nous désarmions enfin la police ? » questionnaient-ils dans un communiqué, demandant par ailleurs au préfet « de s'engager à ne tuer et à ne mutiler personne samedi ». Une banderole portant « Solidarité contre les violences policières » était accrochée près du rassemblement.
INCIDENTS À TOULOUSE
A Toulouse, où un autre rassemblement se tient pour la mort de Rémi Fraisse, quelque 1000 manifestants se sont rassemblés dans le calme en début d'après-midi dans le centre-ville, selon le correspondant du Monde, Philippe Gagnebet. Les alentours de la place du Capitole étaient bouclés par des barrages policiers. La manifestation a ensuite dégénéré et les policiers ont tenté de disperser les manifestants, rapporte notre correspondant.
Sur une grande artère du centre-ville, la devanture d'une agence bancaire a été brisée à la masse, des distributeurs automatiques bancaires vandalisée, des poubelles incendiées, a constaté à l'AFP.
Peu avant 17 heures, quelque 300 manifestants se sont déplacés vers une grande artère du centre, survolée par un hélicoptère des forces de l'ordre. Les CRS ont essuyé des tirs de canettes de bière et de pierres, pendant qu'une partie des commerces fermaient. Aux abords du Palais de Justice, les forces de l'ordre coursaient différents groupes de jeunes qui incendiaient des poubelle
DÉSOLIDARISATION DE PLUSIEURS GROUPES
Le préfet de la Loire-Atlantique, Henri-Michel Comet, a appelé vendredi « au respect de la paix publique et à la plus grande vigilance » et a annoncé le déploiement d'un dispositif de sécurité « afin de prévenir et de réprimer toute atteinte aux biens et à la sécurité des personnes ».
Le gestionnaire du réseau des tras*ports en commun de l'agglomération nantaise, la Semitan, a suspendu la desserte des bus et des tramways dans le centre de la ville pendant toute la durée de la manifestation.
A la suite de ces violences, plusieurs organisations opposées à l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, dont Europe Ecologie Les Verts (EELV), l'Association citoyenne intercommunale des populations concernées par le projet d'aéroport (Acipa) et le Collectif d'élus doutant de la pertinence de l'aéroport (Cedpa), principales associations institutionnelles d'opposants, se sont désolidarisées de l'appel à manifester samedi 1er novembre.
Des manifestations étaient également prévues samedi à Dijon, à Toulouse, à Lille ou à Nice.
Un sit-in pacifique doit être organisé dimanche à Paris, pied de la Tour Eiffel, organisé par l'ONG écologiste France Nature Environnement, à la mémoire de Rémi Fraisse. Les forces de l'ordre craignent néanmoins que des personnes se rendent place Stalingrad pour un rassemblement sauvage vers 15 heures, dimanche. Le site Paris-luttes.info appelle en effet à manifester dimanche à Stalingrad et invite ses militants à revenir dimanche « avec vos casques de moto, de vélo ou de trottinette » pour dénoncer les violences policières.
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Eventos para Rémi Fraisse: incidentes en Toulouse, cinco heridos en Nantes
El Monde.fr con AFP | 01/11/2014 a 16:52 • Actualizado el 11/01/2014 a las 17:58
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Los manifestantes Place du Capitole de Toulouse, 01 de noviembre.
Al menos cinco personas resultaron heridas en los violentos enfrentamientos que estallaron sábado por la tarde durante un desfile en Nantes contra la "brutalidad policial", puesto en marcha en la convocatoria de los movimientos anti-capitalistas, seis días después de la fin de Rémi Fraisse, activista del medio ambiente frente a los Sivens represas, muerto por la explosión de un ataque con granadas por un policía.
Tres manifestantes fueron recibidos por una pierna Clubbed y dos por la metralla de granadas désencerclement, según los periodistas de AFP en el lugar. Dos miembros de las fuerzas de seguridad resultaron heridos levemente según la prefectura. Poco después de 16: 30 pm, los enfrentamientos continuaron entre varios cientos de manifestantes, algunos lanzando botellas y bengalas, y las fuerzas que se replican por granadas de gases lacrimógenos y paralizantes y balas de goma, golpeando a un manifestante espalda.
Cientos de manifestantes
La manifestación comenzó a degenerar en la arteria principal de la ciudad, los 50 rehenes. Se observaron Primeros incidentes después de lanzar objetos, incluidos los bemoles y las sillas hacia la policía. Este último respondió disparando granadas de gases lacrimógenos y paralizantes, señaló a los periodistas de la Agence France-Presse.
14 y 45 de la tarde, una procesión de cientos de personas fue a la prefectura, donde se presentan dos pancartas que decían "Solidaridad contra la brutalidad policial" y "Febrero 22, 3 ojos perdidos. 26 de octubre de muertos ", en referencia a un evento importante que tuvo lugar el 22 de febrero en Nantes contra el proyecto del aeropuerto de Notre-Dame-des-Landes. Las filas se cultivaron después, el evento reunió a unas 800 personas, según el testimonio de las personas en el lugar.
Los manifestantes estaban enmascarados y marcharon gritando "Policía mutilados, asesinatos policiales" o "Policías, cerdos, asesinos". Al pasar los grandes de la policía, que coreaban "asesinos" y "policía nacional, milicia del capital."
"¿Cuánto tiempo le tomará a la fin (s) para que podamos finalmente désarmions la policía? "Ellos cuestionaron en un comunicado, pidiendo también el prefecto" que se comprometan a no sólo apiolar y mutilar a personas Sábado ". Una pancarta que decía "Solidaridad contra la violencia policial" fue colgado cerca de la manifestación.
INCIDENTES EN TOULOUSE
En Toulouse, donde se celebró otro mitin por la fin de Rémi Fraisse, unos 1.000 manifestantes se reunieron en el tranquilo temprano en la tarde en el centro de la ciudad, según el corresponsal de Le Monde, Philippe Gagnebet. Alrededor de la Plaza del Capitolio fue sellado por retenes policiales. La manifestación degeneró y la policía trató de dispersar a los manifestantes, informa nuestro corresponsal.
En una arteria grande en el centro de la ciudad, la ventana de una rama se rompió en el suelo, los cajeros automáticos del banco destrozado, quemado de sarama, señaló AFP.
Poco antes de 17 horas, unos 300 manifestantes se trasladaron a una avenida principal en el centro, volado por una fuerza de helicópteros. CRS se dispararon latas de cerveza y piedras, mientras que una parte de las tiendas cerradas. Cerca del palacio de justicia, la policía coursaient diferentes grupos de jóvenes que quemaban sarama
SEPARACIÓN DE LOS GRUPOS DE VARIAS
El prefecto de la Loire-Atlantique, Henri-Michel Comet Viernes llamado "el respeto a la paz pública y la mayor vigilancia" y anunció el despliegue de un dispositivo de seguridad "para prevenir y sancionar la infracción propiedad y seguridad de las personas ".
El sistema de tras*misión de tras*porte público en la ciudad de Nantes, Semitan suspendido el servicio de autobuses y tranvías en el centro de la ciudad a lo largo de la duración del evento.
A raíz de la violencia, muchos se opusieron al aeropuerto de Notre-Dame-des-Landes, con Europa Ecología Los Verdes (VTE), la Asociación entre los ciudadanos de las poblaciones afectadas por el proyecto del aeropuerto (ACIPA) y organizaciones la duda elegido colectivo la relevancia del aeropuerto (CEDPA), las principales asociaciones de opositores institucionales, se desligaron de la convocatoria de protesta el sábado 1 de noviembre.
Las manifestaciones también se planificaron sábado en Dijon, Toulouse, Lille y Niza.
Una sentada pacífica en la que se celebrará el domingo en París, la Torre Eiffel, organizada por la ONG ambiental France Nature Environnement, en memoria de Rémi Fraisse. La policía, sin embargo, temen que la gente viene hasta Stalingrado para reunirse para una salvaje 15 horas el domingo. El sitio llama Paris-luttes.info de hecho para demostrar el domingo en Stalingrado e invita a sus miembros a regresar Domingo "con cascos de moto, bicicleta o scooter" para denunciar la violencia policial.
